Il y a plusieurs types de joueurs de poker et s’il n’existe pas une façon de jouer, une chose est sûre, il vaut mieux savoir “agresser”, quelque soit la main que l’on souhaite jouer.
En effet, miser ou relancer lorsque l’on en a la possibilité est une variable important au poker : pourquoi laisser son adversaire voir une autre carte au board et lui laisser la possibilité d’améliorer sa main?
C’est tout l’objet de cet article sur la relance au poker.
Les objectifs d’une relance en Texas Hold’em
Faire coucher les autres adversaires
Il faut utiliser cette méthode lorsque vous avez un jeu qui est intéressent mais qui peut être battu facilement si la turn ou la river correspond au jeu de mon adversaire.
En clair, vous avez la main 
, le flop tombe 
, vous touchez donc votre dame pour avoir la paire max sur le flop.
Admettons que votre adversaire ait 
: si vous ne relancez pas ou vous faites une relance trop faible, il risque de vous suivre.
La Turn arrive : 
. Vous n’avez plus le jeu max, votre adversaire vous relance et vous êtes obligé de vous coucher en ayant engagé des jetons.
Une erreur fréquente lorsque l’on débute au poker est de laisser tirer gratuitement des cartes aux adversaires.
GROSSE ERREUR! C’est pourquoi il faut toujours miser ou relancer.
Tester vos adversaires
Attention, ce coup est risqué car comme expliqué précédemment, la turn ou la river peut s’avérer fatale.
Si vous souhaitez gagner un maximum de jetons, il faut d’abord que vous vous serviez de cette technique pour évaluer le jeux de vos adversaires et faire monter les enchères.
Il ne faut pas trop miser pour que les personnes, ayant un jeu, suivent la relance.
Un joueur expérimenté doublera la blind, alors qu’un débutant va relancer trop fort et faire fuir les adversaires.
Vous aurez alors rapidement les petits jeux qui se couchent et ceux qui ont du jeux vont relancer ou caller très vite. Enfin ceux qui hésitent, ont un jeu en attente du flop.
Pour aller plus loin, n’hésitez pas à consulter notre dossier sur les relances pré-flop au poker.
Crédit Photo: Ramberto Cumagun
